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Correspondance complète. Volume II, 11 juillet 1820 - début août 1832

Annotations de Jacques DROIN
Édité par Jacques DROIN
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Titre : Correspondance complète. Volume II, 11 juillet 1820 - début août 1832 Année : 2004 Pages : 528 Collection : Histoire des Idées et Critique Littéraire ISSN : 0073-2397 Numéro : 415
Support : Livre broché ISBN-13 : 978-2-600-00909-6
Support : PDF ISBN-13 : 978-2-600-10909-3
Support : Livre broché + PDF ISBN-13 : 978-2-600-20909-0
Support : ePUB ISBN-13 : 978-2-600-30909-7
  • Présentation

Le deuxième volume de la Correspondance complète de Rodolphe Töpffer reproduit les lettres écrites ou reçues par lui entre son retour à Genève en juillet 1820, au terme d’un long séjour à Paris, et sa nomination le 17 octobre 1832 comme professeur de rhétorique à l’Académie de Genève. Au cours de ces douze années de nombreux événements surviendront qui seront décisifs pour son avenir et sa réputation. Après avoir perfectionné sa connaissance des langues anciennes, il sera engagé en qualité de sous-maître dans le pensionnat du pasteur Jean Heyer, et, tout en surveillant ses élèves, il enverra à sa fiancée Kity Moulinié d’extraordinaires missives, rédigées dans des styles divers, destinées à engager celle-ci à l’aimer et à l’épouser. Le mariage conclu en novembre 1823, Rodolphe se brouille avec le pasteur Heyer, et, l’année suivante, ouvre son propre pensionnat sur la promenade Saint-Antoine. Pour établir sa réputation d’instituteur sérieux, il édite avec un ami les Harangues politiques de Démosthène. Ce qui ne l’empêche pas de composer pour le cercle de ses élèves et de leurs parents les Albums en estampes (les histoires de MM. Jabot, Festus, Crépin, Cryptogame), les récits des Voyages annuels du pensionnat ainsi que des pièces de théâtre, de rédiger la critique des expositions de peinture ouvertes à Genève et d’écrire sa première nouvelle, la Bibliothèque de mon oncle. Töpffer enverra Cryptogame et Festus à son ami Frédéric Soret de Weimar, qui les soumettra à Goethe quelques semaines avant sa mort. Et c’est l’appréciation admirative de Goethe qui encouragera Rodolphe à les publier enfin.

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