Pays
Suisse
France
Europe
Hors Euro/Suisse
Langue
Français
English
DROZ
Livres d'érudition
Éditeur
§
Libraire
Accueil
La maison
Nouveautés
À paraître
Collections
Nouveautés
Des images et des livres. Regards croisés de l'histoire de l'art et de l'histoire du livre
Histoire et civilisation du livre, vol. XX
§
Catalogue
Toutes les collections
Auteurs
Droz en poche
Périodes
Antiquité
Moyen Âge
Renaissance
XVII
e
-XVIII
e
siècles
XIX
e
-XXI
e
siècles
Domaines
Arts - Cinéma
Bibliographie - Histoire du livre
Histoire
Linguistique - Philologie
Littérature
Religion
Sciences sociales
Revues
Numérique
Portails
Revues
Collectifs & monographies
Florence ALAZARD
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
Sébastien CASTELLION
Conseil à la France désolée
Textes Littéraires Français
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION Présentation générale Eléments biographiques Les enseignements de l’édition ancienne Le contexte historique du Conseil à la France desolée (1560-1562) Forme et construction du Conseil à la France désolée Genre, structure, rhétorique Enonciation et destinataires Langue et lexique du Conseil Le Conseil : morale, théologie, politique Morale du Conseil Le Conseil : un traité de théologie ? Enjeux politiques du Conseil Fortunes et usages du Conseil CONSEIL À LA FRANCE DÉSOLÉE CHRONOLOGIE BIBLIOGRAPHIE INDEX
En 1562, Sébastien Castellion (1515-1563) publie le Conseil à la France désolée dans un contexte dramatique. Le conflit qui l’oppose à Calvin depuis l’exécution de Michel Servet dix ans plus tôt n’a cessé de s’envenimer, et Castellion voit désormais la France sombrer dans les guerres de religion : c’est à cette France « désolée » par les affrontements religieux qu’il adresse le Conseil, ultime tentative pour préserver les conditions de la paix. A l’instar d’Etienne Pasquier dans son Exhortation aux princes et seigneurs du conseil privé du Roy paru l’année précédente, Castellion prend clairement parti contre le « forcement de consciences » dont il montre à la fois l’impossibilité morale, l’illégitimité religieuse et l’inefficacité politique. Apostrophant ensemble les catholiques et les protestants, l’homme du commun et le prince, Castellion interroge la définition même de l’hérétique et forme le vœu qu’aucun homme ne puisse être mis à mort au motif qu’il s’écarte des croyances communes.
19,82
Commander
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z