Ouvrage

Les Dialogues de Dōgen en Chine

Édité et traduit par Frédéric GIRARD
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Titre : Les Dialogues de Dōgen en Chine Année : 2017 Pages : 752 Collection : Rayon Histoire de la Librairie Droz ISSN : 2235-1353 Numéro : 5
Support : Livre broché ISBN-13 : 978-2-600-01903-3
Support : PDF ISBN-13 : 978-2-600-11903-0
Support : Livre broché + PDF ISBN-13 : 978-2-600-21903-7
  • Présentation
  • Sommaire

Premier moine japonais à avoir introduit les pratiques du Zen au Japon, Dōgen a laissé un témoignage de premier ordre sur son expérience chinoise, à travers des dialogues suivis avec Rujing (1162-1227), le maître chinois avec lequel il était entré dans des rapports communiels. Ce document permet de mieux connaître les idées et les problématiques qui habitaient le jeune moine qui, sur le modèle du pèlerin chinois Xuanzang (602-664), était parti en quête d’une intégrité religieuse tombe selon lui en déshérence dans son propre pays. Ces échanges ainsi que d’autres témoignages de l’époque chinoise présentés ici prennent leur sens une fois que l’on en situe les arguments dans l’œuvre ultérieure de Dōgen qui s’en trouve en retour éclairée et contextualisée. Frédéric Girard a mené une étude critique sur l’élaboration de cette œuvre à partir des sources qui permet de montrer comment certaines parties se répondent et entrent en correspondance ainsi que tout un aspect du renouveau religieux du Moyen Âge japonais dont Dōgen a été une figure méconnue en son temps et insuffisamment évaluée de nos jours.

Table des matières Avertissement Introduction I. Considérations liminaires Un philosophe ? Un fondateur de secte ou un ermite ? Le Continent Les notes prises en Chine

II . La naissance et le milieu Biographies Le milieu familial

III . La formation profane et religieuse Le confucianisme : la Voie de l’histoire Le bouddhisme

IV . Le voyage en Chine (1223-1227) L’idée de pèlerinage et le paradigme de Xuanzang Le séjour La rencontre avec Rujing Le retour

V. Le Hōkyōki Le texte La lettre Les Dialogues sont-ils des questions à résoudre en Chine ?

VI . Les thèmes du Hōkyōki Le décapage du corps et du mental La méditation La critique de l’unité des trois enseignements. Après les règles : pas de compromis La causalité Les règles de Bodhisattva La poésie : la stance de la clochette au vent (Fūrinju)de Rujing et son destin au Japon Le bouddhisme chinois et la réalisation de l’état de Buddha à même le mental Les Préceptes du Cuisinier La dialectique

Les Dialogues de Dōgen (1200-1253) en Chine Les Dialogues de l’ère Hōkyō

I. Demande d’autorisation de consulter à toute heure II. La transmission en dehors de l’enseignement III. De la rétribution du fruit en deux vies IV. De l’Eveil comme connaissance spontanée V. Travail pour s’exercer à la voie VI. Le Sūtra de la marche héroïque [Śūraṃgāmasamādhi-sūtra] et le Sūtra de l’Eveil parfait [Yuanjuejing] VII. L’obstacle des actes VIII. Réfutation de la négation des causes et des effets IX. Cheveux et ongles longs X. L’embryon saint des Buddha et des Patriarches XI. La ceinture des culottes monastiques XII. Méthode de marche de délassement XIII. Nature du bien et du mal XIV. L’appellation d’école du Dhyāna et la Grande Voie des Buddha et des Patriarches XV. S’asseoir seulement XVI. Que l’obstacle des actes est originellement vide XVII. Les sūtra de sens explicite 7 XVIII. De la correspondance entre l’émotion et sa réponse et à propos de la vérité des doctrinaires XIX. De la compilation du Canon par Mañjuśśrī XX. Du port des chaussettes XXI. Qu’il ne faut pas consommer de « zizanie aquatique » XXII. De la méditation assise en un lieu où souffle le vent XXIII. De la marche déambulatoire XXIV. De la tunique XXV. De l’habit de la Loi et de l’habit de rebut XXVI. De la robe monastique transmise à Mahākāśyapa XXVII. Des quatre sortes de temples XXVIII. De l’élimination des six obstacles XXIX. Ne pas porter l’habit de la Loi XXX. De la grande compassion dans la méditation assise XXXI. Des statues de lion et du dais céleste de lotus XXXII. La stance sur la clochette au ven XXXIII. Que tous les êtres sont des fils de Buddha XXXIV. De la méditation les yeux fermés ou ouverts XXXV. Que la méditation assise se situe au-delà du Grand et du Petit véhicules XXXVI. De la méditation assise et des signes fastes XXXVII. Des soixante-cinq ans de Rujing XXXVIII. De la manière correcte de s’asseoir XXXIX. De la marche déambulatoire en ligne droite XL. Poser la pensée dans la paume de la main gauche XLI. Des règles de Bodhisattva XLII. Première pensée et pensée postérieure dans l’obtention de l’Eveil

Notes

Annexes Annexe I. Texte du Hōkyōki Annexe II . « Grande Perfection de Sapience », Trésor de l’oeil de la Vraie Loi, I
Annexe III . « Buddha-Patriarches », Trésor de l’oeil de la Vraie Loi, Sermon LII
Annexe IV . Méthodes de méditation assise Annexe V. Postface aux Logia de Rujing attribuée à Dōgen Annexe VI . Texte d’enseignement aux cuisines Annexe VII . Yōsai Annexe VIII . Certificat d’ordination dans les règles complètes du maître Myōzen Annexe IX. Les règles de Bodhisattva Annexe X. Chronologie de Dōgen Annexe XI. Plan du monastère du Tiantongshan Annexe XII . Sites religieux visités par Dogen en Chine

Bibliographie I. Abréviations II . Sources et ouvrages de référence III . Etudes en japonais IV . Etudes en langues occidentales

Index des noms propres Index des noms communs

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