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INTRODUCTION
Chapitre premier CHOIX DE FORME, CONSÉQUENCES GÉNÉRIQUES
Une théorie des genres pour le Moyen Âge ?
Pertinence de la notion de genre
Témoignages individuels et traités latins
Désignations – Autodésignations
Mises en recueil
Définition du concept de genre
Horizon d’attente
Critères de la généricité médiévale
Genre et forme
Vers et prose
Mètre
Brun de la Montagne
Long ou bref
Historia et fabula
Le merveilleux
Histoire, mythe, fiction
Le travail des sources
Fictions assumées
Genre et narrateur
Registre
Genre et matière
Le roman arthurien en vers
Définition du canon
Voyages génériques du roi Arthur
Le Tournoi de l’Antéchris : Arthur allégorisé
Arthur en Avalon : la Bataille Loquifer
Transfictionnalité et genre
L’errance aventureuse
Blandin de Cornouailles : errer sans Arthur, errer sans quête
Romans en « décadence » : paralittérarité du corpus tardif
Chapitre II LES DERNIERS VERS : ÉCRIRE EN VERS APRÈS LA PROSE
De la prose au vers
Choix de forme, choix de chronotope
Temps linéaire – temps circulaire
Expansion géographique et référentialité de l’espace
Gauvain, emblème du vers
Tristan, Lancelot, Perceval : emblèmes de la prose ?
Le Graal versus la féerie
Choix de forme, choix de style
Destin du vers
Le vers narratif au XIVe siècle
Une spécialisation lyrique du vers : les insertions d’Escanor et Melyador
Lire le roman arthurien à la fin du Moyen Âge
… du vers à la prose : survivance du genre
Les mises en prose arthuriennes
Le Conte du Papegau entre vers et prose
Chapitre III TRAJECTOIRE DU ROMAN TARDIF
Transfictions tardives
Arthur chef de guerre, Arthur errant
Dux bellorum
Arthur facétieux
Égarements de la figure royale : l’univers en perte de maîtrise
Égarements de la figure royale : errance d’Arthur
De l’archétype au personnage
Keu courtois, preux et amant : décalage transfictionnel
Typologie du personnage arthurien tardif
Le héros : problèmes de désignation
Un manichéisme relatif
Structures arthuriennes : imiter la prose
Entrelacer les aventures
Faire court dans un récit long
Prétendre à l’explicite et à l’exhaustivité
Confluences : un mélange des genres ?
Réécriture d’un topos allogène : l’ekphrasis
Adoption de « patrons génériques exportables » : l’épopée arthurienne
Imitation ponctuelle : Escanor et le miraculeux
L’effet-fabliau
Un récit encadrant : Biaudouz et le didactisme
Conclusion
AUTOPSIE D’UNE FORME
ANNEXES
Annexe A : romans arthuriens en vers tardifs
Annexe B : insertion lyrique dans Escanor
Annexe C : diffusion du roman arthurien en vers après le XIIIe siècle 647
Annexe D : le manuscrit BnF fr. 24301
BIBLIOGRAPHIE
INDEX