-
Sommaire: «Premessa di Stefano Jossa» ; F. BAUSI, «Il sonetto LXII di Giovanni della Casa e l’epilogo del suo «Canzoniere»» ; F. TOMASI, «Lettura di «Arsi gran tempo e del mio foco indegno» di Torquato Tasso» ; R. GORIS CAMOS, ««Le ali del pensiero»: échos, résonances et intertextes pétrarquistes dans l’Olive de Du Bellay» ; D. DALMAS, «Lettura di «Vorrei voler, Signor, quel ch’io non voglio» di Michelangelo Buonarroti» ; A. RONCACCIA, «Ariosto petrarchista: appunti sul sonetto «Aventuroso carcere soave»» ; H. HONNACKER, «Echi petrarcheschi in «Superbi colli, e voi sacre ruine» di Baldassarre Castiglione» ; M. DOMENICHELLI, «Wyatt’s ‘translation’ of Petrarch’s «Una candida cerva»» ; S. RITROVATO, ««Ecco mormorar l’onde». Un esercizio di lettura» ; D. IOVINO, «Un idiografo recuperato del Podere e della Balia di Luigi Tansillo» ; «Conférence Barbier-Mueller 2012» ; P. SALWA « Veronica Franco et la dignité d'une courtisane ».
-
Concepts et méthodes – Y. Pauwels, « L’architecture de la Renaissance entre ratio mathématique et ars rhétorique » ; F. Lemerle, « Ars et ratio en architecture : la théorie des ordres » ; P. Selosse, « Peut-on parler de classification à la Renaissance : les concepts d’ « ordre » et de « classe » dans les ouvrages sur les plantes » ; P. Glardon, « La terminologie botanique dans le De historia stirpium de Leonhart Fuchs (1542) et ses premières traductions françaises » ; J. Vons, « Formes académiques et méthode scientifique dans la Fabrica d’André Vésale » - Ars Docendi ou comment enseigner et diffuser la science – D. Bacalexi, « Galien, d’une réception à l’autre : tradition médiévale arabe et Humanistes du XVIe siècle » ; A. Gasnier, Un exemple de débat interne à la faculté de médecine de Paris » ; S. Rommevaux, C. Clavius, « un promoteur des mathématiques à la Renaissance » ; É. Berriot, « Enseigner les « indoctes », vulgariser la médecine » ; V. Giacomotto-Charra, « La construction de l’expérience dans le texte scientifique : l’exemple De Subtilitate de Cardan » - Entre enseignement et mise en pratique – G. Pineau, Soigner la peste sans défier la colère divine dans les traités médicaux du XVIe siècle » ; G. Xhayet, Les premiers traités liégeois relatifs aux eaux de Spa (1559-1616) » ; M. Kozluk, « Se nourrir et se soigner : jardin et médecine pratique aux XVIe et XVIIe siècles » ; L. Paya, « Géométrie des parterres du jardin de plaisir à la Renaissance : inscrire le cercle dans le carré d’un compartiment » - En forme de conclusion : quand le texte de science nourrit la fiction – M.-L. Monfort, « Le discours scientifique de Panurge » - Varia – P. de Lajarte, « De l’enfance du héros à l’utopie thélémite : ruptures du discours et logique du récit dans le Gargantua » ; N. Viet, « Caméron, Décaméron, Heptaméron : la genèse de l’Heptaméron au miroir des traductions françaises de Boccace » ; C Pigné, « La contribution de Charles Fontaine aux Figures du Nouveau Testament : la poésie et l’image au service de la foi » ; V. Chichkine, « Documents inédits sur Marguerite de Valois à Saint Pétersbourg » ; R. Cappellen , « Bibliographie pour l’Agrégation des Lettres 2012 » ; M.-L. Demonet, « Rabelais, Le quart livre » ; C. Rousseau, « Chronique musicale 2011 ».
-
A travers une série d'études et de réflexions sur des exemples historiques concrets, empruntés à une chronologie large allant de la Révolution à la Cinquième République, et analysés à partir d'outils relevant autant de l'histoire orale que de celle des idées politiques ou des institutions culturelles et financières, les auteurs contribuent à l'élaboration d'une typologie des instances collégiales (conseils, comités, commissions, etc.) et des situations dysfonctionnelles (désordre, fraude, abus, etc.), non sans une certaine gageure. Car c'est à une histoire de l'administration française pour ainsi dire "négative", opérée en creux, souvent dans le silence des sources, que les auteurs ici nous convient.
-
-
La B.I.H.R. est le fruit de la coopération internationale entre dix-huit pays où la Fédération est représentée (pour l’Europe : Allemagne, Belgique, Bulgarie, Espagne, France, Grande-Bretagne, Grèce, Hongrie, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Suisse ; sur les autres continents : Amérique hispanique et Brésil ; Etats-Unis d’Amérique, Japon). Chaque contributeur procède, année après année, au recensement de tout ce qui a paru dans son pays, à savoir les monographies et les articles contenus dans des revues et des collectifs (mélanges, actes de congrès, etc.), à l’exception toutefois des comptes rendus. La Rédaction centrale se charge de collecter les différentes contributions en vue d’une publication annuelle. Les termes Humanisme et Renaissance y sont entendus dans leur sens le plus large; ils embrassent toute l’activité humaine – économique, juridique, scientifique, technique, littéraire, philosophique, religieuse, artistique, au cours des XVe et XVIe siècles. Nous avons toutefois conservé une certaine souplesse à ces limites chronologiques, compte tenu du développement asynchrone de ces mouvements culturels dans les différents pays concernés.
-
La B.I.H.R. est le fruit de la coopération internationale entre dix-huit pays où la Fédération est représentée (pour l’Europe : Allemagne, Belgique, Bulgarie, Espagne, France, Grande-Bretagne, Grèce, Hongrie, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Suisse ; sur les autres continents : Amérique hispanique et Brésil ; Etats-Unis d’Amérique, Japon). Chaque contributeur procède, année après année, au recensement de tout ce qui a paru dans son pays, à savoir les monographies et les articles contenus dans des revues et des collectifs (mélanges, actes de congrès, etc.), à l’exception toutefois des comptes rendus. La Rédaction centrale se charge de collecter les différentes contributions en vue d’une publication annuelle. Les termes Humanisme et Renaissance y sont entendus dans leur sens le plus large; ils embrassent toute l’activité humaine – économique, juridique, scientifique, technique, littéraire, philosophique, religieuse, artistique, au cours des XVe et XVIe siècles. Nous avons toutefois conservé une certaine souplesse à ces limites chronologiques, compte tenu du développement asynchrone de ces mouvements culturels dans les différents pays concernés.
-
-
La B.I.H.R. est le fruit de la coopération internationale entre dix-huit pays où la Fédération est représentée (pour l’Europe : Allemagne, Belgique, Bulgarie, Espagne, France, Grande-Bretagne, Grèce, Hongrie, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Suisse ; sur les autres continents : Amérique hispanique et Brésil ; Etats-Unis d’Amérique, Japon). Chaque contributeur procède, année après année, au recensement de tout ce qui a paru dans son pays, à savoir les monographies et les articles contenus dans des revues et des collectifs (mélanges, actes de congrès, etc.), à l’exception toutefois des comptes rendus. La Rédaction centrale se charge de collecter les différentes contributions en vue d’une publication annuelle. Les termes Humanisme et Renaissance y sont entendus dans leur sens le plus large; ils embrassent toute l’activité humaine – économique, juridique, scientifique, technique, littéraire, philosophique, religieuse, artistique, au cours des XVe et XVIe siècles. Nous avons toutefois conservé une certaine souplesse à ces limites chronologiques, compte tenu du développement asynchrone de ces mouvements culturels dans les différents pays concernés.
-
-
La B.I.H.R. est le fruit de la coopération internationale entre dix-huit pays où la Fédération est représentée (pour l’Europe : Allemagne, Belgique, Bulgarie, Espagne, France, Grande-Bretagne, Grèce, Hongrie, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Suisse ; sur les autres continents : Amérique hispanique et Brésil ; Etats-Unis d’Amérique, Japon). Chaque contributeur procède, année après année, au recensement de tout ce qui a paru dans son pays, à savoir les monographies et les articles contenus dans des revues et des collectifs (mélanges, actes de congrès, etc.), à l’exception toutefois des comptes rendus. La Rédaction centrale se charge de collecter les différentes contributions en vue d’une publication annuelle. Les termes Humanisme et Renaissance y sont entendus dans leur sens le plus large; ils embrassent toute l’activité humaine – économique, juridique, scientifique, technique, littéraire, philosophique, religieuse, artistique, au cours des XVe et XVIe siècles. Nous avons toutefois conservé une certaine souplesse à ces limites chronologiques, compte tenu du développement asynchrone de ces mouvements culturels dans les différents pays concernés.