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Sommaire : I. Études – La vie intellectuelle en Aquitaine à l'époque de Montaigne – E. CHAYES, V. GIACOMOTTO-CHARRA, X. PRÉVOST, « Avant-propos » ; M.-B. LE HIR, « Un colliege en la forme de celuy de Lisieux à Paris » ; H. PIERRE, « Élie Vinet, “enseignant-chercheur” ? » ; S. ROMMEVAUX-TANI, « Les ouvrages mathématiques d'Élie Vinet » ; C.MAZOUER, « Des tragédies pour le collège » ; M.-L. DEMONET, « Les bibliothèques des professeurs du Collège de Guyenne au temps de Montaigne écolier » ; S. GEONGET, « Jean d'Arrérac, juriste lettré, lecteur de Montaigne ? » ; D. BJAÏ, « Entre Gimone et Garonne, les réseaux aquitano-gascons de Guillaume du Bartas » ; B. MARPEAU, « Comment naît un “ouvrage de référence” ? L'Histoire de la France rurale des Éditions du Seuil (1975-1977) » – II. Variétés – A. LEGROS, « Sur l'exemplaire des Essais dit “de Bordeaux” le cachet des Feuillants » ; F.-R. MARTIN, « Les livres, les paroles et les constellations d'images. L'Atlas Mnémosyne d'Aby Warburg, hier et aujourd'hui » – III. Comptes rendus.
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Introduction
Anne BOUTET et Stéphan GEONGET
Marguerite, « poulle, qui soigneusement appelle et assemble ses petits poullets »
Première partie : PERSPECTIVES HISTORIQUES
Neil KENNY
Littérature royale, réseau familial
Nicole DUFOURNAUD
Les réseaux de parenté et de service de Marguerite d’Angoulême : une bonne mestresse à la cour de France
Nathalie SZCZECH
Guillaume Farel et les réformateurs de Suisse francophone face au réseau de Marguerite de Navarre : collaborations ou concurrences ?
Loris PETRIS
Marguerite de Navarre et les frères Du Bellay
Guillaume ALONGE
Le réseau italien de Marguerite : prélats, ambassadeurs, espions
Deuxième partie : UN RÉSEAU ÉVANGÉLIQUE
Isabelle GARNIER
Un réseau féministe autour de Marguerite de Navarre. Émergence d’un lectorat féminin et réception du Miroir de l’âme pécheresse (1531)
Claudie MARTIN-ULRICH
Au coeur du réseau royal : Marguerite, François et les autres
Marie-Bénédicte LE HIR
Autour des quatre Tombeaux de Marguerite de Navarre (1550-1551) : les enjeux politiques et littéraires du réseau
Richard COOPER
Le Cercle de Gascogne d’après les Tombeaux de Marguerite
André BAYROU
Aucun accroc dans le réseau de Marguerite ? La solidarité évangélique face aux accusations d’hérésie, de la poésie à l’histoire judiciaire
Troisième partie : INFLUENCES LITTÉRAIRES
Marie-Luce DEMONET
L’obscur Jean de l’Espine et l’étoile Marguerite
Jean LECOINTE
Hélisenne de Crenne et Marguerite de Navarre
Daniel FLIEGE
Le réseau de Navarre en Italie : sur la correspondance de Marguerite de Navarre et Vittoria Colonna
Élise RAJCHENBACH
L’influence de Marguerite de Navarre (et de ses réseaux ?) sur l’élaboration du Recueil des oeuvres de feu Bonaventure des Périers (1544)
Dariusz KRAWCZYK
«Vostre treshumble et tresobeisante subjecte et mignonne, Marguerite » : Marguerite de Navarre dans ses échanges poétiques
Quatrième partie : ITINÉRAIRES INDIVIDUELS
Géraldine CAZALS
Un « chrestien escrivant à princesse chrestienne » et des « philosophes vollantz » : Guillaume de La Perrière et le réseau de Marguerite de Navarre
Sylvie LAIGNEAU-FONTAINE
Nicolas Bourbon, protégé de Marguerite
Louise DAUBIGNY
Antoine Pocque et les Libertins spirituels : quelle place dans le réseau de Marguerite de Navarre ?
Jérémie BICHÜE
Marguerite de Navarre, François de Sagon et son protecteur Félix de Brie : itinéraires croisés
Jean BRUNEL
Appendice. Quatre poèmes funéraires de Charles Salmon Macrin en l’honneur de Marguerite de Navarre
Bibliographie générale
Sources primaires
Sources secondaires
Index des noms et des lieux cités dans l'ouvrage
Autour de Marguerite de Valois, reine de Navarre et sœur de François Ier, s’est tissé un réseau constitué d’hommes de lettres et de partisans de l’évangélisme que la reine a su protéger dans un contexte tendu de persécutions religieuses. Ce réseau lui a notamment permis de relayer son action évangélique dans différentes villes du royaume mais également au-delà de ses frontières, dans d’autres pays d’Europe. Correspondances, échanges poétiques, hommages littéraires mais aussi livres de comptes témoignent de ce réseau et permettent de mettre en évidence le rôle de protection et de mécénat joué par la reine dans la période qui suit la dissolution du cercle de Meaux. Ce réseau se définit notamment par le partage de convictions religieuses, par des influences littéraires communes, par des solidarités comme des rivalités, des alliances et des relations diplomatiques avec l’extérieur et enfin par certains liens affectifs et spirituels avec la famille royale.
Ce volume qui résulte d’un colloque tenu en 2018 au Centre d’Études Supérieures de la Renaissance de Tours révèle les nombreux liens qui unissent les membres du réseau de Marguerite de Navarre. Humanistes, poètes ou libertins spirituels, l’itinéraire d’un grand nombre d’entre eux est ici retracé, révélant toute la richesse mais aussi la grande complexité de ce réseau.
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TABLE DES MATIÈRES
AVANT-PROPOS
INTRODUCTION
PROLÉGOMÈNES BIOGRAPHIQUES
PREMIÈRE PARTIE. LES CHOIX DE LOUIS LE CARON
Chapitre premier. L'HUMANISME DE LOUIS LE CARON, « CE FUT UNE BELLE GUERRE QUE L'ON ENTREPRIT LORS CONTRE L'IGNORANCE »
« Es traces de la divine vertu » : le savoir vertueux et l'idéal encyclopédique
L'excellence admirable de l'homme
La non moins admirable excellence de la femme
Le développement d'un discours en faveur des pauvres
Encyclopédie versus « amas de disciplines »
Le refus du catalogue et la « delectation » de savoir
Le plaisir d'apprendre
L'admiration pour François Ier, vrai Père des Lettres
La visite à Michel de L'Hospital et la mission humaniste
La transmission du savoir, le souci pédagogique
Contre l'imitation stérile des Anciens, le choix du présent
Le refus du retrait studieux
La haine de la posture cynique
Accompagner « l'heur de son tems », « laudamus veteres, sed nostris utimur annis »
Manifeste en faveur de l'audace intellectuelle, « Dicam tamen quod sentio »
« Mos gallicus », « méthode » juridique, philologie et systématisme
Études berruyères : l'influence de François Le Douaren et de François Baudouin
Le désir de restitution, « retirer des tenebres d'oubliance »
Une « méthode » pour un droit « perfaite Idée de l'equitable bon »
La croyance dans le progrès
Chapitre II. LE NÉOPLATONISME DES ANNÉES 1550, PRISCA THEOLOGIA, PHILOSOPHIA PERENNIS, PRISCA JURISPRUDENTIA
L'héritage néoplatonicien
Une profession de foi assumée
De Moïse à Platon via Hermès
Le Christ « Démon » platonicien
La gageure d'une poésie platonicienne
La poésie énigmatique, les « sacrez misteres » et la fureur
Faire disparaître le corps, les stratégies à l'oeuvre
Chapitre III. LA CHRISTIANISATION DES ANNÉES 1580
Une christianisation sensible du discours.
De la Philosophie (1555) aux Discours philosophiques (1579-1583).
Une réécriture manifeste
L'évolution des temps, des « signaux faibles »
« Dieu veult estre regardé », de la Fortune à la Providence
L'« admirable disposition » du « théâtre » du monde
« Qui reçoit la fortune, rejecte la providence »
« Selon l'immuable et infallible ordonnance de Dieu »
Les « effects de la providence divine »
Cas pratiques
Chapitre IV. L'INFLUENCE DÉTERMINANTE DU NÉOSTOÏCISME
Précautions liminaires
Un précurseur néostoïcien
Un des premiers néostoïciens ?
De Poullangis sur Marne aux rives de la Meuse, l'invention du jardin néostoïcien
« Seigneur de ses passions », un enseignement essentiel
Faire tomber les « masques » des « fausses visions »
Vers l'éradication des passions
« Sagesse extrême » et « sagesse ordinaire »
Intertextes stoïciens
La lecture des auteurs antiques, Zénon, Épictète et Sénèque
La lecture des modernes, Guillaume Du Vair et Juste Lipse
« Non moveri, l'escu Palladien, que je porte pendu devant la poictrine »
Portrait de l'auteur en stoïcien
La « tranquilité » versus la perturbation démoniaque
Une double référence
Le choix du chancelier Philippe Hurault de Cheverny comme dédicataire
Plus un Discours sur le proces criminel faict à une Sorciere
Évolution personnelle
« Hors de trouble et detresse », les « étrennes » au roi de France
« Constamment porter tout ce qu'ordonne Dieu »
La « constance » des nombres, la méditation mathématique
La promotion de l'obéissance
Signes et indices, éléments de sémiotique stoïcenne
SECONDE PARTIE
LA LITTÉRATURE, FASCINATION ET PARADOXES
Chapitre V. « CHARONDAS » FACE À SES MODÈLES
La construction littéraire d'un nom propre
Un nom en construction
La fabrique d'un patronyme « humaniste »
Un enjeu de « taille », Louis Le Caron héritier de l'une des plus vieilles familles de France…
De « Bel Tenebroso » à Solon, l'invention d'une persona
Une extraction ressentie comme « insuffisante »
Pour la noblesse de robe, contre la noblesse des « port'esp©es »
Storytelling. Mises en scène
Les racines du mal, Louis Le Caron « abandonné »
Portrait de l'auteur en Claude Fauchet
Les joies du calendrier
Autopromotion
La mise en place d'un réseau
Des modèles entre droit et littérature
Le casparticulier de Montaigne
Un faisceau de présomptions
Détour. Faire parler le silence
Les raisons d'un silence
L'interprétation fautive
d'un Louis Le Caron sceptique
« Le sot projet de se peindre », une « fantastique contemplation »
« Machiaveliser », un risque du scepticisme montaignien
Spectres, sorcières et boiteuses
Chapitre VI. UN VA-ET-VIENT CONSTANT ENTRE DROIT ET « LETTRES HUMAINES »
Histoire du droit et histoire de la littérature
« Le mariage de l'Estude du Droict avecques les lettres Humaines »
Croiser droit et littérature
La Claire ou de la prudence de droit
Les jeux de l'antanaclase, les lois du coeur et les lois de la cité
Le direct Paris-Bourges, métaphore du projet humaniste
« Puella ficta »
Chapitre VII. POUR UNE LITTÉRATURE VERTUEUSE
L'exemplarité, l'élégance et la maxime
Un catalogue de situations existentielles
L'exemplarité et les effets favorables de la littérature édifiante
La littérature pour « faire passer la pillule »
Du recueil des « excerpta » à l'écriture de la maxime
La « biendisante faconde », clarté de la vertu
Apologie de la clarté
Contre les « ruses et afeteries d'eloquence »
Des valeurs pour le Prince
Les vertus cardinales en temps de ruine
Le Prince, exemplaire à imiter
Le courtisan-marmouset
L'espoir déçu d'une relation personnelle
Dialogue, devis et dispute, des vérités à transmettre plus qu'à débattre
Dialogue et dialogisme
Le « dialogue » chez Louis Le Caron, entre « devis » et « dispute »
Chapitre VIII. LE PLAISIR DE RACONTER DES HISTOIRES, DE L'ILLUSTRATION À L'INVENTION
L'évolution vers la « gravité » et la nécessité de trouver une place autre à la littérature
La littérature, des « juvenilia » ?
Une époque qui prend fin
Le goût de la fiction
Fictionnalisation et illustration des cas
Frapper les esprits, l'art de la mise en scène
Entre discours public et parole intime
« Enigma ». Louis Le Caron auteur masqué ?
Une nécessaire prudence
Des livres perdus ? des références fictives ?
Les très pratiques « vieil practicien » et « vieil poëte » ou comment toujours avoir sous la main une citation ad hoc
Louis Le Caron mystificateur ? L'auteur des Comptes du monde aventureux (1555) ?
La (très mystérieuse) piste Raphel Micheli
TROISIÈME PARTIE
MENACES SUR L'UNITÉ DU ROYAUME. LOUIS LE CARON « POLITIQUE »
Chapitre IX. LA FRANCE MENACÉE ENTRE LES « PARTIALITEZ »
Le risque du naufrage
La réalité de la situation versus l'« image peincte »
Le délitement du royaume et la lecture du De gubernatione Dei de Salvien
La course effrénée aux offices
Le débat entre « Monarchie » et « Anarchie »
La menace de la Ligue
Contre les ligues, contre la Ligue
La Ligue et l'« éversion » de l'État
La lutte sur le terrain des idées
De la plainte à la Realpolitk
Rhétorique de la plainte, « Las pauvre France »
La Realpolitik, du bon usage de la diversion
Chapitre X. REFONDER L'UNITÉ NATIONALE AUTOUR D'UN POUVOIR FORT
Un sénat fort, la défense contre Jean Bodin du système de la monarchie mixte
Le « Senat » de France
La méfiance face au pouvoir d'un seul, « aussi souvent les Rois changent
de volontez »
La monarchie mixte et la fonction des contrepoids
Se rendre volontairement sujet aux lois, surcroît de grandeur
Le refus de la raison d'État
Un roi fort, pour empêcher les dissensions
Le souhait de la « constance » politique et la préférence pour la Monarchie
L'amour du Prince versus la servitude
La clémence d'Auguste
La justice du roi, le souvenir de saint Louis
Chapitre XI. REFONDER L'UNITÉ NATIONALE À PARTIR DE LA LANGUE FRANÇAISE
L'illustration de la langue française, un projet pour la cohésion
nationale
Restituer « la grace et naïveté Françoise »
Contre le « Grec enflé de vanterie, et le superbe Romain »
« Préférer la fidelité du Gentil-homme François à l'inconstance de l'estranger »
Illustrer le français, dans les pas de Tory, Rabelais et Du Bellay
Les illustres devanciers
Une langue pour renforcer le sentiment d'appartenance nationale
Défendre l'origine française des termes
Chapitre XII. REFONDER L'UNITÉ NATIONALE AUTOUR D'UN DROIT FRANÇAIS
Agir mais avec prudence
Un droit clair, un droit stable
À la recherche de « la simplicité de l'ancien droit François »
La place problématique du droit romain
La loi universelle et royale plutôt que la coutume particulière et populaire
Un peuple unique, un roi unique, une loi unique
« Je compare la loy au Roy, et la coustume au tyran »
« Horresco referens », petit florilège de coutumes iniques
L'origine populaire de la coutume
L'apparent paradoxe de la coutume de Paris, un « droit civil français »
Chapitre XIII. UN CHOIX « POLITIQUE », POSTPOSER LA QUESTION RELIGIEUSE
Un parcours personnel : du refus de la liberté de conscience à l'acceptation « politique » de la tolérance
Les dangers d'une totale liberté de conscience
L'acceptation « politique » de la tolérance
Le gallicanisme de Louis Le Caron
Le milieu parlementaire
Les méfaits de la papauté
Plaidoyer pour la loi salique au nom de l'unité du royaume
La pragmatique sanction, « palladium Franciæ »
Contre les jésuites
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
INDEX NOMINUM
Louis Le Caron (1534 ?-1613), dit Charondas, est un écrivain de la Renaissance injustement méconnu. Poète véritable et admiré par ses contemporains, philosophe stimulant et auteur d’audacieux Dialogues et de différents Panégyriques, Louis Le Caron est aussi un homme de loi des plus compétents qui commente les textes (la Coustume de Paris notamment), produit une œuvre juridique de premier plan (auteur des Pandectes du droict français) et exerce une charge de magistrat à Clermont-en-Beauvaisis. Pris dans la tourmente du temps, il plaide et œuvre — avec une constance proprement stoïcienne — pour un renforcement du pouvoir royal qu’il voit vaciller jusqu’à l’affermissement providentiel et l’arrivée d’Henri IV au pouvoir.
Emblématique de la génération des juristes lettrés (Étienne Pasquier, Claude Fauchet et bien d’autres), il ne cesse de célébrer ce mariage des lettres et des lois qui est une spécificité de ce siècle. Juriste dans ses œuvres littéraires, il est aussi homme de lettres dans ses œuvres de droit. Humaniste « antiquaire », cherchant à « dégloirer l’Italien », il se détourne de l’héritage latin pour se consacrer plus particulièrement au legs français (en droit comme en littérature).
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Fondée en 1950 par Eugénie Droz, la collection des Travaux d'Humanisme et Renaissance a réuni, en soixante-cinq ans, plus de 550 titres. Elle s'est imposée comme la collection la plus importante au monde de sources et d’études sur l'Humanisme (Politien, Ficin, Erasme, Budé…), la Réforme francophone (Lefèvre d'Etaples, Calvin, Farel, Bèze…), la Renaissance (littéraire et artistique, Jérôme Bosch ou Rabelais, Ronsard ou le Primatice…), mais aussi la médecine, les sciences, la philosophie, l'histoire du livre et toutes les formes de savoir et d’activité humaine d’un long XVIe siècle, des environs de 1450 jusqu’à la mort du roi Henri IV, seuil de l'âge classique. Les Travaux d'Humanisme et Renaissance sont le navire-amiral des éditions Droz.
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Prononcé à l’audience, le plaidoyer constitue un moment essentiel de la procédure judiciaire, le moment où l’on cherche à établir, à qualifier et à juger les faits, celui où se discute le vrai et le faux, le juste et l’injuste. A la Renaissance, véritable âge d’or des plaidoyers, il constitue aussi un texte, volontiers confié à l’imprimerie et donnant lieu à un genre particulier d’ouvrage : le recueil de Plaidoyez. En dépit de perspectives et de finalités variées, révélant les horizons de juristes qui se voulaient tout autant « hommes de lois » qu’« homme de lettres », ces recueils, délaissés par la critique, s’avèrent d’une richesse particulière, non seulement pour les données juridiques qu’ils renferment que par la rhétorique déployée par leurs auteurs. Poursuivant une enquête au long cours sur les formes d’expression du juridique à la Renaissance, fruit d’un colloque pluridisciplinaire organisé à l’université d’Avignon, le présent volume s’est dès lors attaché à mettre en évidence la plasticité et les enjeux révélés par ces œuvres, contribuant à améliorer notre connaissance de ces dernières, comme plus largement celle de l’écriture des juristes à la Renaissance.
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