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Restée inachevée, au terme d’une longue gestation, après la publication de ses quatre premiers livres et longtemps mal-aimée des ronsardisants, La Franciade est aujourd’hui perçue plus positivement, réévaluée sinon réhabilitée, comme l’atteste depuis une quarantaine d’années le nombre croissant d’études dont elle fait l’objet. On est loin de Sainte-Beuve qui n’en cita pas un seul vers. Non seulement elle recèle des richesses poétiques qui ne se rencontrent pas ailleurs, mais elle apparaît encore comme l’indispensable caisse de résonance des fragments épiques disséminés dans toute l’œuvre.
Notre édition, établie à partir de l’originale de 1572, en donne les nombreuses variantes, manuscrites (y compris celles du livre IV qu’on crut longtemps détruit dans l’incendie de la bibliothèque de Turin) et imprimées (des deux rééditions de l’année suivante aux Œuvres posthumes de 1587), et reproduit en annexe, entre autres textes, l’importante dernière préface « touchant le Poëme Heroïque ». Une invitation à redécouvrir La Franciade d’un œil nouveau.
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Dès sa thèse, Denis Bjaï s’est intéressé au récit épique et a servi la littérature française à la Renaissance avec éclat et passion. À l’occasion de son départ en retraite de l’Université d’Orléans, un groupe de collègues de France et de l’étranger ont souhaité saluer sa carrière exemplaire en lui offrant un volume de Mélanges. Centrées autour de la notion d’épopée et des formes du discours héroïque, quinze études s’attachent à rappeler le rôle important que jouent le discours, les thèmes et le style épiques dans la littérature française du Moyen Âge jusqu’au XVIIIe siècle. Si Ronsard, avec La Franciade, occupe la place centrale de ce volume, d’autres écrivains (d’Homère à Fénelon, en passant par Bodel, Rabelais, Du Bartas, D’Aubigné et La Fontaine) laissent percevoir dans leurs œuvres l’étoffe variée dont l’épopée est faite, et font entendre les composantes de sa rhapsodie.
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Sommaire / Contents : L'histoire littéraire des bibliophiles (XIXe-XXe siècles) – M. Le Bail, « Introduction » ; M. Le Bail, « Charles Nodier ou la "condition d’origine" comme condition d’une histoire littéraire des origines ? » ; A.-C. Royère et J. Schuh, « Les éditeurs bibliophiles : l’amateur comme créateur de livres (1890-1914) » ; M. Charreire, « L’œuvre "Doré" du bibliophile Jacob » ; N. Pamart, « Jean de Tinan, ou la recherche d’une légitimité littéraire par le beau livre » ; O. Bessard-Banquy, « Du luxe au semi-luxe » ; F. Rouget, « Prosper Blanchemain, bibliophile et éditeur des poètes minores de la Renaissance française » ; J.-L. Diaz, « Charles Asselineau face aux Minores du romantisme » ; R.-J. Seckel, « Sade 1850-1909, début de reconnaissance ? » ; P.-J. Dufief, « Octave Uzanne : de la bibliophilie à l’histoire littéraire » ; J.-D. Wagneur, « Le Panthéon de papier de Firmin Maillard : Bohème et hémérophilie » ; L. Portes, « Eugène Le Senne, bibliophile et collectionneur » – ÉTUDES D’HISTOIRE DU LIVRE – G. Bischoff, « Libreria publica : la bibliothèque de Saint-Jean de Strasbourg au berceau de l’humanisme rhénan » ; B. Delestre, « La bibliothèque de l’Académie royale d’architecture (1671-1793) » ; A. Béhin, « Un imprimeur dijonnais à la Bastille : Louis Hucherot et l’affaire du Parlement outragé (1761) » ; M.-D. Leclerc, « Pierre de Provence dans le papier bleu » ; C.-. Vial, « Louis-Philippe et les livres. De la collection familiale à la bibliothèque du musée de l’histoire de France » ; J.-Y. Mollier, « Albert Demangeon, un géographe chez Armand Colin » – Livres, travaux et rencontres.
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Sommaire – ARTICLES – F. Barbier, « Le cordelier, le chat et les fous » ; F. Rouget, « De bruit et de fureur : échos poétiques, catholiques et protestants, de la bataille de Jarnac (13 mars 1569) » ; J. LAMY, « Lire la Bible, explorer la nature. Bernard Palissy et le geste expérimental » ; O. Grenouilleau, « Le discours d’un pasteur abolitionniste en son siècle : La cause des esclaves nègres (1789) de Benjamin-Sigismond Frossard » ; M. Moulin (Sacquin), « Un "moment protestant" de l'Institut de France : le concours sur la Réformation de 1802 » ; S. FATH, « France, le choc des différences. 1 : Des années aux débuts de la IIIe République » – POÉSIE, MUSIQUE ET PROPAGANDE RELIGIEUSE AU TEMPS DES RÉFORMES (AMIENS, 17 NOVEMBRE 2017) – J. Goeury, « La Chrestienne resjouyssance (1546) d’Eustorg de Beaulieu, une contribution poétique et musicale à l’histoire de la Réforme » ; T. Debbagi Baranova, « "Chantans & resonnans en vostre cœur au Seigneur" : la Réformation selon Eustorg de Beaulieu » ; A. Tacaille, « Eustorg de Beaulieu parodiste : la Chrestienne resjouyssance comme propagande musicale » ; A.-G. Leterrier-Gagliano, « Annoter les vers : étude des références bibliques inscrites dans les marges de la Chrestienne resjouyssance » ; J. Sercomanens, « Conversion religieuse et réformations textuelles chez Eustorg de Beaulieu : des blasons anatomiques à la discipline du corps féminin » ; M. LATOUR, « Des "gestes honnestes et sages" : les chansons morales de la Chrestienne resjouyssance » – COMM.MORATION – Assemblée du Musée du Désert, 2 septembre 2018, « Femmes du Désert » ; I. Kirschleger, « "Mon âme est en liberté, et j’ai la paix de la conscience" : résistance et spiritualité des femmes du Désert » ; V. Duval-Poujol, « Femmes d’espérance, femmes d’exception. Quelques exemples de protestantes qui ont osé lutter contre les injustices » – COMPTES RENDUS.
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TABLE DES MATIÈRES
CHRONOLOGIE SOMMAIRE
INTRODUCTION
NOTE SUR LA PRÉSENTE ÉDITION
REMERCIEMENTS
PIÈCES LIMINAIRES
A Madame Marguerite de France Royne de Navarre
Advertissement aux lecteurs
Syl. Cæsaris Scaligeri a Verona, in Juditham G. Sallustii / De Sylve Scaliger de Vérone sur la Judith de G. Salluste
Aug[ustin] Costé à Guil[laume] De Saluste
Avg. Coste Castrodvnensis In Guil. Salustij Iuditham, Carmen / Ode sur la Judith de Guillaume Salluste
Sonnets et distiques à Guillaume de Saluste
LA JUDIT
L’URANIE, OU MUSE CÉLESTE
LE TRIOMFE DE LA FOY
POEME DRESSÉ POUR L’ACCUEIL DE LA ROYNE DE NAVARRE À NERAC
ANNEXES
I. Poèmes de La Muse chrestie(n)ne (1574) non recueillis en 1579
II. Sonnet gascon (P. de Brach, Poemes, Bordeaux, S. Millanges, 1576)
III. Sonnet « Sur la version d’Athenagore, faite par Arn. du Ferrier » (Bordeaux, S. Millanges, 1577)
IV. Argument de La Judit et Sommaires de S. Goulart des Œuvres (Genève, J. Chouet, 1582)
V. Hymne de la Paix et Les Neuf Muses Pirenées (Anvers [Lyon], G. de La Romaine [B. Rigaud],1582)
GLOSSAIRE
BIBLIOGRAPHIE
INDEX DES NOMS PROPRES DE PERSONNAGES BIBLIQUES, HISTORIQUES ET MYTHOLOGIQUES JUSQU’AU XVIIe SIÈCLE
TABLE DES ILLUSTRATIONS
Guillaume de Saluste Du Bartas (1544-1590) est l'auteur d'un chef-d'œuvre, La Sepmaine, qui connut un succès retentissant en Europe dès sa parution en 1578. Peu avant, il avait réuni ses premiers essais poétiques dans un recueil qu'il intitula La Muse Chrestiene (Bordeaux, Simon Millanges, 1574) et qu'il dédia à Marguerite de Valois, épouse d'Henri de Navarre. Elle contenait La Judit, Le Triomfe de la Foy, L'Uranie et quelques sonnets dédiés à ses amis. Profitant du succès éditorial de La Sepmaine, Du Bartas et/ou ses libraires en firent la « premiere partie » des Œuvres qui parut en 1579. Les Œuvres – reproduites ici d'après l'édition de Barthélemy Gomet à Blois – présentent une jolie diversité littéraire et une grande cohérence thématique. Du Bartas s'y révèle maître de son talent dans l'adaptation de la Bible et la réforme du manifeste poétique de la Pléiade. Il parvient avec bonheur à exploiter quatre formes du lyrisme en autant de genres poétiques (l'épopée, l'hymne, le triomphe et l'entrée), dans les registres religieux et profane. S'il accorde sa préférence au premier, il montre aussi qu'il a su faire siens les procédés rhétoriques du second. Chacun à sa façon, les quatre poèmes du livre proclament l'ambition du poète de se distinguer de ses prédécesseurs, quitte à bousculer les usages et les attentes de son public.
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Sommaire : Contrefaçons dans le livre et l’estampe, XVe-XXIe siècle – Y. SORDET, « La contrefaçon éditoriale : qualification juridique et raison économique » ; R. ADAM, « La contrefaçon dans les anciens Pays-Bas (XVe-XVIIe siècle) » ; A. DURU, « Un geste éditorial : la publication de contrefaçons. L’exemple des recueils du poète Claude de Trellon sous la Ligue et sous Henri IV » ; A. RIFFAUD, « La contrefaçon du théâtre français au XVIIe siècle » ; V. MEYER ave/ la participation d’A. NADEAU, « Le graveur Louis Simonneau et ses plagiaires : Gantrel, Cars, Malbouré, et Limousin » ; « I. TURCAN, « Les contrefaçons du Dictionnaire de l’Académie française au XVIIIe siècle : Nîmes et Avignon » ; D. VARRY, « Un Lyonnais pris en flagrant délit d’impression du Contrat social (1762) » ; D. DROIXHE, « L’origine lyonnaise de la fausse édition Bassompierre du Bélisaire de Marmontel (1777) » ; S. EVRARD, « L’estampillage des contrefaçons en 1777 et l’édition juridique, d’après les archives des chambres syndicales d’Orléans, de Dijon et de Nancy » ; M. COLLART, « Des beaux ornements aux belles bibliothèques. A propos de l’édition clandestine des Œuvres de Brantôme par Jean-Edme Dufour (Maastricht, 1779) » ; H. POMMIER, « Une réponse aux contrefaçons. Le privilège partagé : Le cas d’Antoine Dezallier à Paris et Thomas Amaulry à Lyon » ; G. KAUCHER, « Charles-Antoine Jombert (1712-1784) ou la parade à la contefaçon » ; A. PAGE, « La contrefaçon “légale” dans le livre et l’estampe aux Etats-Unis (1831-1891) » ; H. SEILER-JUILLERET, « Quand les Digital Rights Managment sèment la discorde » – Etudes d’histoire du livre – F. ROUGET, « Michel d’Amboise et l’illustration des Epistres veneriennes » ; M.-C. BOSCQ, « Dans la tourmente révolutionnaire : Les bibliothèques de Strasbourg et leurs catalogues » ; Y. BRAULT, « Devenir illustrateur ornemaniste à âge romantique : l’exemple d’Hercule Catenacci (1814-1884) » ; M.-H. GRIVEL, « La Bibliothèque enfantine francophone d’Hochelaga (1925-1945) » ; C. MAURER, « Les risques du métier : être conservateur de bibliothèque dans une vil annexée par l’Allemagne national-socialiste » – Livres, travaux et rencontres.
Sommaire : Contrefaçons dans le livre et l’estampe, XVe-XXIe siècle – Y. SORDET, « La contrefaçon éditoriale : qualification juridique et raison économique » ; R. ADAM, « La contrefaçon dans les anciens Pays-Bas (XVe-XVIIe siècle) » ; A. DURU, « Un geste éditorial : la publication de contrefaçons. L’exemple des recueils du poète Claude de Trellon sous la Ligue et sous Henri IV » ; A. RIFFAUD, « La contrefaçon du théâtre français au XVIIe siècle » ; V. MEYER ave la participation d’A. NADEAU, « Le graveur Louis Simonneau et ses plagiaires : Gantrel, Cars, Malbouré, et Limousin » ; « I. TURCAN, « Les contrefaçons du Dictionnaire de l’Académie française au XVIIIe siècle : Nîmes et Avignon » ; D. VARRY, « Un Lyonnais pris en flagrant délit d’impression du Contrat social (1762) » ; D. DROIXHE, « L’origine lyonnaise de la fausse édition Bassompierre du Bélisaire de Marmontel (1777) » ; S. EVRARD, « L’estampillage des contrefaçons en 1777 et l’édition juridique, d’après les archives des chambres syndicales d’Orléans, de Dijon et de Nancy » ; M. COLLART, « Des beaux ornements aux belles bibliothèques. A propos de l’édition clandestine des Œuvres de Brantôme par Jean-Edme Dufour (Maastricht, 1779) » ; H. POMMIER, « Une réponse aux contrefaçons. Le privilège partagé : Le cas d’Antoine Dezallier à Paris et Thomas Amaulry à Lyon » ; G. KAUCHER, « Charles-Antoine Jombert (1712-1784) ou la parade à la contefaçon » ; A. PAGE, « La contrefaçon “légale” dans le livre et l’estampe aux Etats-Unis (1831-1891) » ; H. SEILER-JUILLERET, « Quand les Digital Rights Managment sèment la discorde » – Etudes d’histoire du livre – F. ROUGET, « Michel d’Amboise et l’illustration des Epistres veneriennes » ; M.-C. BOSCQ, « Dans la tourmente révolutionnaire : Les bibliothèques de Strasbourg et leurs catalogues » ; Y. BRAULT, « Devenir illustrateur ornemaniste à âge romantique : l’exemple d’Hercule Catenacci (1814-1884) » ; M.-H. GRIVEL, « La Bibliothèque enfantine francophone d’Hochelaga (1925-1945) » ; C. MAURER, « Les risques du métier : être conservateur de bibliothèque dans une vilna annexée par l’Allemagne national-socialiste » – Livres, travaux et rencontres.
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Table des matières
Denis BJAÏ et François ROUGET, Introduction
Première partie
Stratégies éditoriales et création poétique
Michèle CLÉMENT, Les poètes et leurs libraires au prisme du privilège d’auteur au XVIe siècle : la proto-propriété littéraire
Isabelle PANTIN, Innovation poétique, innovation typographique : comment penser un synchronisme ?
Jean BALSAMO, Les libraires du Palais et les poètes (1530-1610)
François ROUGET, Philippe Desportes et ses libraires
Deuxième partie
« La Pléiade » et ses libraires
Geneviève GUILLEMINOT-CHRÉTIEN, Ronsard, Baïf et la veuve Maurice de La Porte : une nouvelle présentation du recueil poétique
Daniel MÉNAGER, Ronsard, Henri Estienne et Anacréon
Emmanuel BURON, La pratique du pème liminaire comme analyse pragmatique de l’acte
éditorial : Jodelle, Etienne Groulleau et André Wechel
Troisième partie
Poètes de province et ambitions éditoriales
Denis BJAÏ, Un imprimeur orléanais de la Renaissance et « ses » poètes : autour d’Eloi Gibier (1551-c. 1587)
Nicolas DUCIMETIÈRE, Coups d’essai : les étudiants poètes et leurs imprimeurs-libraires dans la seconde moitié du XVIe siècle
Anne RÉACH-NGÔ, Des Trésors poétiques à la Renaissance ? L’ambition éditoriale du Trésor immortel de Jacques Sireulde
Christine BÉNÉVENT, Auger Gaillard : les tribulations d’un poète en quête de libraire(s)
Quatrième partie
Les libraires lyonnais et leurs poètes
François RIGOLOT, D’un libraire l’autre : Marot, de Tory à Dolet via Montmorency
Mireille HUCHON, Jean de Tournes et ses poetrices
Elise RAJCHENBACH-TELLER, Charles Fontaine : le poète et ses imprimeurs-libraires
Cinquième partie
Les poètes chrétiens et leurs libraires
Max ENGAMMARE, Théodore de Bèze poète et ses imprimeurs
Véronique FERRER, Entre La Rochelle et Genève : les poètes protestants et leurs imprimeurs (1560-1610)
Yvonne BELLENGER, Du Bartas et ses libraires
Alain CULLIÈRE, Les éditeurs des Dévots élancements du poète chrétien d’Alphonse de Rambervillers (1602-1617)
Sixième partie
Poètes humanistes et transmissions éditoriales
Michel MAGNIEN , Vascosan éditeur de Guillaume Du Mayne (1556)
Philippe DESAN, La Boétie poète et ses deux éditeurs : Federic Morel et Montaigne
John NASSICHUK, L’oeuvre latin de Jean Rouxel et le monde de l’édition en Normandie
Index nominum
Comment le poète français du XVIe siècle, à Paris, à Lyon ou dans d’autres villes de l'espace francophone, choisit-il son libraire ou son imprimeur ? Pourquoi en change-t-il et fait-il parfois appel, successivement voire simultanément, à plusieurs d’entre eux? Quelles relations (contractuelles, financières, intellectuelles) le lient à ces hommes et femmes du livre ? Quel parti les uns et les autres tirent-ils du privilège exhibé en page de titre, mais dont l'extrait ne se retrouve pas toujours à l’intérieur de l'ouvrage ? Quelles logiques guident l’auteur pour diffuser au mieux sa production et lui ménager la plus large réception possible ?
Telles sont quelques-unes des questions qu’à la faveur d’un colloque tenu à Orléans, en juin 2013, se sont posées une vingtaine de spécialistes de la poésie française et néo-latine de la Renaissance, pour mieux comprendre les stratégies éditoriales mises en œuvre et éclairer les relations complexes, implicites voire conflictuelles qui unissaient alors le poète et son libraire... avant parfois de les séparer.