M.-D. GLESSGEN, « Présentation générale. Architecture et méthodologie du projet des ‘‘Plus anciens documents linguistiques de la France, édition électronique’’ » ; M.-D. GLESSGEN, « La terre lorraine, les puissants et les hommes: la plus ancienne charte française du scriptorium épiscopal de Toul (1237) » ; D. KIHAÏ, « Les lieux d’écriture dans le domaine oriental d’oïl : les paramètres extralinguistiques de leur positionnement dans le réseau scriptologie » ; P. VIDESOTT, « A propos du plus ancien document en français de la chancellerie royale capétienne (1241) » ; M.-D. GLESSGEN et J. ALLETSGRUBER, « Annexe. Structure de la base de données lexicologique des ‘‘Plus anciens documents’’ » ; P. DEHOVE et J.-F. NIEUS, « Aux origines de la science princière des archives : le premier chartrier des comtes de Namur et son inventaire de 1263 » ; E. LECUPPRE-DESJARDIN, « Des portes qui parlent : placards, feuilles volantes et communication politique dans les villes des Pays-Bas à la fin du Moyen Age » ; L. FOIS, « A rebours : des parchemins milanais de Paris et Halle à la collection oubliée de Giovanni Sitoni (1674-1762) » – Mélanges – L. MORELLE, « Une charte nuptiale laonnoise de 1158 conservée en original ».