TABLE DES MATIÈRES
Remerciements
Introduction
Chapitre premier. Interprétations (1350-1480)
La nouvelle n’est pas une fiction qui imite un fait
Le but premier du récit n’est pas de représenter le réel
La nouvelle n’est pas un exemplum mais suit la même poétique
Les usages de l’integumentum
Le récit est fondé sur l’interprétation
Le récit est polysémique et vrai
Quelle vérité du récit ?
Un récit utile et agréable
Un récit eutrapélique
Une lecture autonome
Le plaisir du sens
Chapitre II. Applications (1480-1560)
La nouvelle de la Renaissance relève-t-elle de l’éthique ?
L’évolution des nouvelles
Comment classer les nouvelles
La nouvelle n’est pas une fiction
La nouvelle est une histoire vraie avec des ornements
La nouvelle adopte une vraisemblance rhétorique
Le sens du récit est issu de son application
La nouvelle est un cas
Pourquoi les nouvelles relèvent de l’éthique
Application profane et herméneutique sacrée
Divertir par le récit est une vertu
La nouvelle est un entraînement éthique
L’usage des nouvelles dans les marginalia
Chapitre III. Contraindre le sens du récit (1570-1600)
L’application entre en crise
L’essor de la censure
Interdire l’application du récit
La censure a-t-elle affecté les poétiques ?
De la polysémie au sens littéral
De l’ambiguïté à la justice poétique
De la licence à l’idéalisation
De la distance à la contagion
Le pouvoir du récit « réaliste »
La vraisemblance : un outil des censeurs ?
Le nouveau paradigme en Europe
De l’éthique de la vertu à la moralisation du vice
Brûler le Decameron ? Retour sur les marginalia
Chapitre IV. Vers la vraisemblance (1610-1678)
Refonder la nouvelle, inventer le roman
Concilier morale et vraisemblance ?
Joindre l’utile à l’agréable ?
Qui décide de ce qui est vraisemblable ?
Histoire ou fiction
Les stratégies de lecture changent : de l’usage au sentiment moral
La crise de l’éthique de la vertu
Conclusion. Le contenu de vérité des nouvelles
Bibliographie
Index des noms