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TABLE DES MATIÈRES
Introduction
Une réflexion sur les valeurs (logos)
L'expression des affects (pathos)
La représentation de soi (èthos)
Les modèles
Carmina, lib. VI
VI, 1 Au cardinal Charles de Lorraine à Trente, 1563
VI, 2 À mes amis
VI, 3 À Charles, cardinal de Lorraine
VI, 4 Satire
VI, 5 Discours sur la liberté dans l'écriture
VI, 6 Sur la guerre civile, à Christophe de Thou, président du parlement
VI, 7 À Arnaud Du Ferrier
VI, 8 À Guy Du Faur
VI, 9 À Arnaud Du Ferrier
VI, 10 À Adrien Turnèbe
VI, 11 À Guy Du Faur
VI, 12 À Jacopo Corbinelli
VI, 13 À l'Italien Antonio Vacca
Abréviations
Index des noms de lieux et de personnes
Le livre VI des Carmina de Michel de L’Hospital comprend treize épîtres hexamétriques composées entre 1562 et 1572, soit du début des guerres de religion au seuil de la Saint-Barthélemy. Deux épîtres sont adressées au cardinal de Lorraine et marquent la fin de la relation entre les deux hommes ; huit autres sont adressées à des serviteurs du roi (De Thou, Pibrac, Du Ferrier, Du Faur), à des juristes (Vacca) et à des philologues (Turnèbe, Corbinelli) ; enfin, trois sont dépourvues de destinataire précis. L’Hospital développe de profondes réflexions politiques, philosophiques, littéraires et religieuses. En sage observateur de son époque, dont il déplore les vices, il laisse une place de plus en plus ample à son idéal éthique et évangélique. La disgrâce du chancelier en 1568 nourrit une méditation sur la vieillesse et le salut. La mise en scène de la violence, physique ou verbale, offre au lecteur un miroir pour notre temps.
L’édition fournit le texte latin établi sur les manuscrits collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, une nouvelle traduction, en stiques, une présentation du contexte, une analyse et un commentaire. Le volume est complété d’une introduction, d’un index des lieux, des personnes et des matières.
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Débutant comme un manuel de « Prières », le canzoniere d’un type très particulier qu’est le manuscrit trilingue de Blaise Hory (1528-1595), conservé à la Bibliothèque universitaire de Neuchâtel, opte très vite pour le genre de la « Chanson » célébrant – sur le mode lyrique des Psaumes et dans le sillage de la triade Marot, Ronsard et Du Bartas – divers événements tant privés (baptêmes, mariages, maternités, guérisons, deuils) que civiques (festivités du Nouvel An, élections de magistrats, commémorations du passage à la Réforme). Avant de se décliner plus librement encore dans une panoplie de formes savantes où alternent satires, épitaphes, chants de guerre, énigmes, jeux d’esprit et autres exercices virtuoses de style, passage osé de l’exercice pieux à la glorification humaniste du Parnasse qui révèle chez ce « diable de pasteur-poète » comment l’écriture réformée glisse, au cours de la Renaissance, de la littéralité de l’inspiration biblique à la littérarité de la « chose littéraire ».
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Introduction
Célébration et prescription
Le Discours du sacre
Le serviteur, le sage et le poète : L'Hospital en quête d'un èthos
Entre réalisme et allégorie
Essence poétique de la pensée de L'Hospital
Carmina, lib. V
V, 1 Sur les noces du très illustre François, Dauphin de France, et de
la sérénissime Marie, reine des Écossais, poème d'un personnage
de très haut rang
V, 2 Au cardinal Charles de Lorraine
V, 3 À Marguerite, soeur du roi
V, 4 Au cardinal Charles de Lorraine, poème sur la paix de Michel de
L'Hospital
V, 5 À Jean de Morvillier
V, 6 À François Olivier, chancelier de France
V, 7 Au très puissant et très illustre Prince Charles, cardinal de
Lorraine, épigramme de Michel de L'Hospital
V, 8 Discours sur le sacre de François II, roi des Gaules, et sur sa
prévoyance dans l'administration de son royaume, écrit par Michel
de L'Hospital
V, 9 À Jacques Du Faur, le voyage à Nice
Annexes
Abréviations
Index des noms de lieux et de personnes
Le livre V des Carmina de Michel de L’Hospital comprend huit épîtres hexamétriques et une brève dédicace en distiques (V, 7), toutes composées entre 1556 et 1561, pour la plupart entre le printemps 1558 et l’automne 1559, peu avant l’accession de leur auteur à la charge de chancelier. À cette densité chronologique s’ajoute une focalisation thématique sur les enjeux politiques et militaires, autour de la paix, de la ruine des royaumes et des devoirs des gouvernants. Entre célébration (V, 1 sur les noces du futur François II et de Marie Stuart) et prescriptions éthiques, la parole poétique s’y exprime avec énergie, dans une rhétorique démonstrative orientée vers des fins didactiques. Si L’Hospital y défend son èthos de serviteur du roi (V, 3) et la pratique du loisir lettré (V, 2), la perspective personnelle s’estompe au profit des défis politiques et publics dans une France en guerre. L’édition fournit le texte latin établi sur les manuscrits et les plaquettes collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, une nouvelle traduction en stiques, une présentation contextuelle, une analyse et un commentaire. Le volume est complété d’une introduction, d’un index des lieux, des personnes et des matières.s.
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TABLE DES MATIÈRES
Introduction
Engagement politique et réflexion éthique
Entrée dans les negotia et désir d’otium
Carmina, lib. IV
IV, 1 Épître à François de Lorraine, prince de Guise
IV, 2 Poème de loin le plus savant sur le siège de Calais et de Guînes, places fortes prises durant cette dernière guerre
IV, 3 Poème de Michel de L’Hospital sur la prise de Thionville
IV, 4 À Marguerite, vierge royale
IV, 5 Au cardinal Charles de Lorraine
IV, 6 Au cardinal de Lorraine
IV, 7 À Guy Du Faur. De l’amour et de l’ignorance de soi
IV, 8 Discours contre le luxe à Christophe de Thou, président du Parlement
IV, 9 Aux Muses
IV, 10 À P. Vettori
Abréviations
Index des noms de lieux et de personnes
Le livre IV des Carmina de Michel de L’Hospital regroupe dix épîtres hexamétriques composées entre 1551 et 1563. Dans les trois premières, tirant les leçons de l’actualité politique et militaire (défaite de Saint-Quentin, reprise de Calais, Guînes et Thionville aux Anglais), L’Hospital formule des recommandations éthiques et évangéliques qu’il adresse aux puissants, en particulier au duc de Guise. Deux épîtres développent une réflexion anthropologique et éthique : à Guy Du Faur de Pibrac est proposée une méditation sur les dangers de l’amour de soi et de l’ignorance ; à Christophe de Thou, une réflexion sur le luxe et la cupidité. Deux poèmes à Charles de Guise constituent des exhortations à l’otium, à la vie chrétienne et à la modération. La culture littéraire occupe une place centrale : dans l’épître aux Muses, L’Hospital affirme l’importance existentielle que revêt pour lui la poésie ; une commendatrix epistula adressée à Marguerite de France accompagne l’envoi du Tombeau de Marguerite de Navarre par Nicolas Denisot ; l’éloge dédié à l’humaniste florentin Piero Vettori se double d’un hymne au loisir lettré et à l’amitié. L’édition fournit le texte latin établi sur les manuscrits et les plaquettes collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, une nouvelle traduction en stiques, une présentation contextuelle, une analyse et un commentaire. Le volume est complété d’une introduction, d’un index des lieux, des personnes et des matières.
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TABLE DES MATIÈRES
Introduction
De la circonstance à la réflexion éthique
Une écriture autoréflexive .
Entre nature et culture.
Carmina, lib. III
III, 1 à François Olivier, chancelier de France
III, 2 à Jean de Morel
III, 3 en l’honneur d’Henri II. A Charles, cardinal de Lorraine.
III, 4 à Odet, cardinal de Châtillon
III, 5 au cardinal de Lorraine
III, 6 au cardinal Charles de Lorraine
III, 7 au cardinal Jean Du Bellay
III, 8 à Salmon Macrin
III, 9 à Salmon Macrin.
III, 10 au cardinal Jean Du Bellay
III, 11 à la très illustre Marguerite, soeur du roi
III, 12 à Charles de Lorraine, cardinal
III, 13 à Barthélemy Faye, conseiller au parlement de Paris
III, 14 à Jean de Morel d’Embrun
III, 15 à Marguerite, soeur du roi
III, 16 à Paul, sur la résidence royale de Chambord
III, 17 pour le livre d’André Tiraqueau sur les lois matrimoniales
III, 18 à Lancelot de Carles, évêque de Riez
Annexe
Abréviations
Index des noms de lieux et de personnes
Le livre III des Carmina de Michel de L’Hospital (1505-1573) comprend 18 épîtres hexamétriques, composées entre 1546 à 1558, à l’exception d’une pièce (III, 13), postérieure à la disgrâce du chancelier. Adressées à des prélats (dont le cardinal de Lorraine), à des juristes (Tiraqueau, Jean de Morel), à des parlementaires, au poète Macrin ou à Marguerite de France, elles oscillent entre discours cicéronien, sermo horatien et silve. Les pièces encomiastiques côtoient des réflexions éthiques et philosophiques fondées sur les valeurs de modération, de prudence et d’amitié, ainsi que d’importantes épîtres métapoétiques où le magistrat défend la dignité de la poésie, loisir noble associé à la paix ou à une retraite champêtre loin d’une ville où règnent intrigues, rumeurs et cupidité. On y relève en particulier une importante épître érasmienne à Jean de Morel sur l’importance de l’allaitement (III, 2), des liminaires parus en tête des œuvres de Jean Du Bellay (III, 8 et 10) et André Tiraqueau (III, 17), une description paradoxale de Chambord (III, 16) ainsi qu’une épître à François Olivier sur sa disgrâce (III, 1).
Cette édition, dans la continuité des livres I et II, fournit le texte latin établi sur les manuscrits collationnés avec les éditions imprimées de 1585 et 1732, une traduction en stiques, une présentation contextuelle, une analyse et un commentaire. Le volume est complété d’une introduction, d’un index des lieux, des personnes et des matières.
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TABLE DES MATIÈRES
Introduction
Organisation du livre II
Thématique et spécificités du recueil
Carmina, lib. II
II, 1 au cardinal de Lorraine
II, 2 à Marguerite de France
II, 3 à Jean Du Bellay
II, 4 au cardinal de Lorraine
II, 5 à Pierre de Mondoré
II, 6 à Jacques Du Faur
II, 7 à François Olivier
II, 8 à Marguerite de France
II, 9 au cardinal de Lorraine
II, 10 à François Olivier
II, 11 à Jean Du Bellay
II, 12 à Pierre Crassin
II, 13 sur la défense de Metz
II, 14 à Henri II
II, 15 à Marguerite de France
II, 16 à Lancelot de Carles
II, 17 à Salmon Macrin
II, 18 à Charles de Marillac
II, 19 au cardinal de Lorraine
II, 20 à mes hôtes
Abréviations
Index des noms de lieux et de personnes
Les vingt épîtres qui forment le livre II des Carmina de Michel de L’Hospital (1505-1573), composées entre 1546 et 1560, en pleine ascension politique du poète, sont adressées au roi Henri II, à Marguerite de France, à des prélats (cardinaux de Lorraine et Du Bellay), à des lettrés (Macrin, Mondoré), ainsi qu’à des hommes de loi (Olivier, Du Faur). Repensant son époque à la lumière des auteurs antiques, L’Hospital mêle satire du milieu judiciaire et de la cour, éloge du sage stoïcien et de l’otium, réflexions politiques (sur le souverain idéal et sur les rapports du particulier avec le pouvoir), morales (éloges paradoxaux de la maladie et de la guerre, éthique de l’éloquence judiciaire, attitude idéale face à la mort dun proche) et littéraires (éloge de Ronsard, affirmation de la supériorité des lettres, considérations sur le métier de poète). Se mettant constamment en scène, il se peint en figure d’autorité et, faisant alterner sermo horatien et sermon chétien, développe une réflexion éthique pour lui-même et pour les autres. L’édition, fondée sur les manuscrits et les plaquettes collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, offre le texte latin de chaque épître accompagné d’une traduction française en stiques, d’une analyse historique et poétique et d’un commentaire, ainsi qu’une introduction, des notices biographiques sur les destinataires, un index des lieux, des personnes et des matières.
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Stéphanie AUBERT-GILLET,
Irena BACKUS,
Jean Paul BARBIER-MUELLER,
Philippe DESAN,
Max ENGAMMARE,
Jean-Raymond FANLO,
Marie-Madeleine FRAGONARD,
Jean-François GILMONT,
Amy GRAVES MONROE,
Christian GROSSE,
Cécile HUCHARD,
Marie-Dominique LEGRAND,
Frank LESTRINGANT,
Olivier POT,
Ruth STAWARZ-LUGINBÜHL,
A. TOURNON,
R. ZUBER
TABLE DES MATIÈRES
PRÉSENTATION
Olivier Pot, «Quand la polygraphie devient une poétique»
PREMIÈRE PARTIE ÉLOGE DE LA CURIOSITÉ
Neil Kelly, «« Rendre commode ce qui pourroit nous nuire en beaucoup de sortes »le détournement des textes et de la curiosité chez Simon Goulart»
Frank Lestringant, «L’Osório de Goulart et ses fortunes, de Thevet à Montaigne»
DEUXIÈME PARTIE: LA SECONDE MAIN DU POLYGRAPHE ENTRE TRADUCTION, ADAPTATION ET COMMENTAIRE
Marie-Madeleine Fragonard, «Les additions à la traduction des Méditations historiques de Philippe Camerarius»
Marie-Dominique Legrand, «Simon Goulart éditeur de Plutarque: exploration de ses noteset de ses commentaires à la traduction de Jacques Amyot»
Irena Backus, «Quels témoins de quelle vérité ? Le Catalogus testium veritatisde Mathias Flacius Illyricus revu par Goulart»
TROISIÈME PARTIE: LA FABRIQUE DE L’HISTOIRELES LIEUX DE MÉMOIRE
Jan Miernowski, «La mémoire des massacres chez Simon Goulart et les origines de la fable protestant» Jean-Raymond Fanlo, «Du monument religieux à l’écriture de l’histoire: la continuationde l’Histoire des martyrs par Simon Goulart»
QUATRIÈME PARTIE: LES AMBIGUÏTÉS DE LA NATURE PARACELSISME, ASTROLOGIE, DÉMONISME
Max Engammare, «Les intérêts astrologiques de S.G.S»
Isabelle Pantin, «Les enjeux du commentaire: Goulart, Du Bartas et Du Chesne»
Cécile Huchard, «Merveille et vanité : la nature et les livresdans le Thrésor d’histoires admirables»
Amy Graves-Monroe, «Ce n’est pas sorcier: la place du surnaturel dans l’oeuvrede Simon Goulart»
André Tournon, «Le diable de Delphes et les commentaires prophylatiquesde Simon Goulart»
CINQUIÈME PARTIE : GOULART ET SES RÉSEAUX ÉDITORIAUX
Jean-François Gilmont, «Simon Goulart et ses imprimeurs»
Stéphanie Aubert-Gillet, «Une école poétique autour de Simon Goulart»
Jeltine L.R. Ledegang-Keegstra, «Simon Goulart dans les alba amicorum»
Philippe Desan, «Simon Goulart éditeur de Montaigne»
SIXIÈME PARTIE: COELO MUSA BEAT POÉSIE, THÉÂTRE ET MUSIQUE
Jean Paul Barbier-Mueller, «Trois poètes réformés à Genève : Goulart, Poupo et Du Chesne»
Olivier Pot, «‘‘Numero, ordine et pondere’’. Les Imitations chrestiennes :manifeste d’une Ecole poétique Réformée ?»
Roger Zuber, «Goulart et ses « consolations » contre la mort»
Christian Grosse et Ruth Stawarz-Luginbühl, «‘‘La Pastorale’’ (1585) de Simon Goulart: théâtreet tradition bucolique au service d’une célébration politique»
Annie Coeurdevey, «Simon Goulart, mélomane et contrefacteur»
ANNEXES
Annexe I. Les impressions genevoises de Simon Goulart
Annexe II. Les oies de l’Escalade ou quand le hasardse fait Providence
Annexe III. Couronnes et guirlandes
Annexe IV. Une synopsis du sens
Né à Senlis, réfugié à Genève dès 1561, Simon Goulart (1543-1628) est un des écrivains « polygraphes » les plus féconds de son époque. Traducteur de Plutarque, éditeur de Montaigne, adaptateur des chansons d’Orlande de Lassus, commentateur de Du Bartas, auteur d’« histoires extraordinaires », poète lyrique et satirique voire dramaturge, il fut un « passeur » entre les Réformes d’expression allemande et française. Au carrefour de plusieurs disciplines, mêlant philosophie, théologie, morale, musique, astrologie, démonologie et alchimie, son oeuvre encyclopédique qui résume les préoccupations de la Renaissance tardive oriente le calvinisme vers une sensibilité moins austère, plus « littéraire » et humaniste. Successeur de Calvin et de Bèze à la tête de la Compagnie des Pasteurs il s’engagea dans l’action politique de son temps qu’il a analysée avec sagacité en tant qu’historien des guerres de religion.
Les études réunies ici explorent pour la première fois la complexité d’une œuvre dont les « intérêts vastes comme le monde » concernent un public averti aussi bien que curieux.
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En cette période mouvementée qui s’étend du début des années 1550 au seuil de la première guerre de religion – période marquée par l’essor des Églises réformées, la politique répressive des successeurs de François Ier et les espoirs, sans lendemain, suscités par l’avènement de Charles IX –, une jeune génération d’auteurs huguenots investit un genre antique encore peu exploité en France : la tragédie.
Sont ainsi convoqués sur scène Abraham, David, Esther ou encore les trois jeunes gens de Daniel 3 pour donner corps aux émotions contradictoires qui agitent le croyant lorsque, aux heures sombres de la persécution et de l’exil, Dieu semble avoir mis son peuple « pour tout jamais en oubliance » (Joachim de Coignac). Entre sentiments de déréliction et élans eucharistiques, c’est une véritable « anatomie de toutes les parties de l’âme » (Calvin), que la trajectoire descendante du canevas tragique, en interaction constante avec le modèle psalmique, permet d’inventer.
Portant sur un corpus de neuf tragédies bibliques, la présente étude propose, au croisement d’interrogations poétiques, dramaturgiques et théologiques, une herméneutique de l’épreuve subie par l’élu, c’est-à-dire de sa chute apparemment tragique.
mment tragique.
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Irena BACKUS,
Matteo CAMPAGNOLO,
Emidio CAMPI,
Marianne CARBONNIER-BURKARD,
Charles-Antoine CHAMAY,
Christophe CHAZALON,
Alain DUFOUR,
DUNCUMB,
Max ENGAMMARE,
Olivier FATIO,
Véronique FERRER,
Hervé GENTON,
Jean-François GILMONT,
Marie-Christine GOMEZ-GÉRAUD,
Christian GROSSE,
Luka ILIC,
Robert M. KINGDON,
Karin MAAG,
Scott MANETSCH,
Tadataka MARUYAMA,
Paul-Alexis MELLET,
Daniel MÉNAGER,
Olivier MILLET,
Béatrice NICOLLIER-DE WECK,
Béatrice NICOLLIER-DE WECK,
Peter OPITZ,
Béatrice PERIGOT,
Pierre PETITMANGIN,
Olivier POT,
Jill RAITT,
Bernard ROUSSEL,
Catherine SANTSCHI,
Don SINNEMA,
Daniela SOLFAROLI CAMILLOCCI,
Ruth STAWARZ-LUGINBÜHL,
Christoph STROHM,
Kirk M. SUMMERS