Gérard DEFAUX
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K. ALMQUIST,
Jean BALSAMO,
Dominique BRANCHER,
Gérard DEFAUX,
Marie-Luce DEMONET-LAUNAY,
Philippe DESAN,
Stéphan GEONGET,
S. GIOCANTI,
T. GONTIER,
O. GUERRIER,
M. HABERT,
Alain LEGROS,
Jean-Claude MARGOLIN,
Emmanuel NAYA,
John O'BRIEN,
Nicola PANICHI,
Bruno PINCHARD,
K. SELLEVOLD,
J.L. VIEILLARD-BARON
Sommaire: A.Legros "Que sais-je de Montaigne?"; J.O'Brien "Si avons nous une tres-douce medecine que la philosophie"; K.Sellevold "Phônai skeptikai et expressions modalisantes, ressemblances et différences"; A.Legros "Colloque pour voix sceptiques et parole(s) divine(s) entre librairie et 'Apologie'"; S.Giocanti "Quelle place pour Dieu au sein du discours sceptique de Montaigne?"; M.Habert "Aspects sceptiques de la traduction de Sebond"; J-C.Margolin "D'Erasme à Montaigne: l'écriture de l'opinion et la double voie de la croyance"; B.Pinchard "Humanisme de la chose, humanisme de la glose. Cajétan et Montaigne"; S.Geonget "Perplexité et scepticisme dans les Essais ou la souris et le ver à soie (III, i)"; O.Guerrier "Le champ du 'possible': de la jurisprudence aux Essais"; K.Almquist "Du prêt et de l'usufruit des images. Le droit de la propriété dans la pensée sceptique de Montaigne"; P.Desan "Montaigne et le doute judiciaire"; J-L.Viellard-Baron "Croire ou ne pas croire? Montaigne et la foi"; E.Naya "Le doute libérateur: préambules à une étude du discours fidéiste dans les Essais"; T.Gontier "L'essai et l'expérience. Le scepticisme de Montaigne par-delà le fidéisme"; N.Panichi "La raison sceptique comme figure de l'ethique"; A.Tournon "La question du Préteur"; J.Balsamo "La critique des dispositions testamentaires: un scepticisme peu philosophique; G.Defaux, "Montaigne et l'expérience: réflexions sur la naissance d'un philosophe sceptique - et 'impremedité'"; D.Brancher "'N'y plus ne moins que la rubarbe qui pousse hors les mauvaises humeurs': la rhubarbe au Purgatoire"; M-L.Demonet "Du jeton à l'éponge"
A ceux qui cherchent sa "matière", Montaigne offre sa "manière"; ceux qui s'arrêtent à son style, il les renvoie à sa pensée. Terrain de la rencontre: l'art de douter et/ou de croire, le doute comme art et comme hygiène, le scepticisme comme écriture, le traitement que cette écriture fait subir aux trois grandes sciences de l'époque, théologique, juridique, médicale. Il est question dans ce volume, autour de Montaigne et avec lui, de Sextus Empiricus et de Diogène Laërce, de Raymond Sebond, d'Erasme, de Cajetan, de La Boétie, de Ponce Pilate et de Dieu, mais aussi de souris et de vers à soie, de rhubarbe purgative, de jurisprudence et de testaments; sans oublier les grand sujets attendus: éthique, raison et expérience, foi et "fidéisme", opinion et croyance... Quatre sections: traits (J. O'Brien, K. Sellevold, A. Legros, S. Giocanti, M. Habert), conférences (J.-C. Margolin, B. Pinchard, S. Geonget, O. Guerrier, K. Almquist, P. Desan), dogmes (J.-L- Vieillard-Baron, E. Naya, T. Gontier, N. Panichi), expériences (A. Tournon, J. Balsamo, G. Defaux, D. Brancher); avec une bibliographie générale et un index des noms.ms.
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Non de Venus les ardentz estincelles,
Et moins les traictz, desquelz Cupido tire :
Mais bien les mortz, qu’en moy tu renovelles
Je t’ay voulu en cest Oeuvre descrire.
D’entrée, Scève définit la singularité de son canzoniere. Comme la traduction de La Deplourable fin de Flamete, sa Délie est d’abord leçon, avertissement, salutaire mise en garde. Elle se veut exemplaire et commune. Nourrie d’Hésiode et de Virgile, de Dante, de Pétrarque et de Marot, de Platon, de Ficin et de Léon l’Hébreu, mais également – aussi étrange que cela puisse nous paraître –, de la poésie mariale du Puy de Rouen, elle propose d’illustrer pour le plus grand bénéfice du lecteur les dangers guettant tous ceux qui, imprudents mariniers, osent s’aventurer dans les " gouffres amers " de " la naufrageuse mer d’amour ". Elle est surtout, par-delà le " travail ", les " angoisses ", les " souffrances " et les " morts ", le plus bel hymne jamais composé par un poète de notre Renaissance à la gloire de l’amour humain, cette " flamme si saincte " qu’elle peut vaincre à la fois la Mort et le Temps.
Le texte reproduit est celui de l’édition publiée à Lyon en 1544 par Antoine Constantin. Etablies à partir de l’édition parisienne de 1564, les variantes figurent en tête de chacune des Notices regroupées dans le second volume.
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Yvonne BELLENGER,
Michel BIDEAUX,
Raymond BOUDON,
Nicole CAZAURAN,
Hélène CAZES,
Jean CÉARD,
F. CHARPENTIER,
Pascale CHIRON,
François CORNILLIAT,
P. DEBAILLY,
Gérard DEFAUX,
Guy DEMERSON,
F. DOBBY-POIRSON,
Claude-Gilbert DUBOIS,
Alain DUFOUR,
Jean DUPÈBE,
Max ENGAMMARE,
Philip FORD,
Marie-Madeleine FRAGONARD,
André GENDRE,
Franco GIACONE,
André GODIN,
Marie-Christine GOMEZ-GÉRAUD,
F. GREINER,
Mireille HUCHON,
Edith KARAGIANNIS-MAZEAUD,
Nadine KUPERTY-TSUR,
Paul LARIVAILLE,
François LECERCLE,
Marie-Dominique LEGRAND,
Frank LESTRINGANT,
P. LOJKINE,
Catherine MAGNIEN-SIMONIN,
Michel MAGNIEN,
Jean-Claude MARGOLIN,
Arielle MEYER,
Jan MIERNOWSKI,
Gérard MILHE-POUTINGON,
Olivier MILLET,
Nuccio ORDINE,
Isabelle PANTIN,
Anne-Pascale POUEY-MOUNOU,
François RIGOLOT,
François ROUGET,
Gilbert SCHRENCK,
A. TOURNON,
Marc VENARD,
Jean VIGNES,
M. YARDENI
Table of Content : Bibliographie des travaux de Daniel Ménager. A. Meyer, «Daniel Ménager à Nanterre»
I - La pensée politique et ses représentations à la Renaissance: P. Larivaille, «Le dernier pari de Machiavel»; M Bideaux, «Sur la trahison: le connétable de Bourbon entre Judas et les renégats objectifs»; M.-D. Legrand, «La figure du roi dans le Traité de la reformation de la justice attribué à M. de L’Hospital»; C. Magnien, «Au service du roi: Jacques Faye d’Espeisses (1544-1590), l’homme qui ne voulait pas écrire»; N. Kuperty-Tsur, «La notion de serviteur de l’Etat entre éthos et pratique à la fin du XVIe siècle en France»; P. Lojkine, «Meurtre à Jérusalem. Boissard et la question du régicide»; A. Dufour, «Bèze historien»; M. Yardeni, «La pensée politique de la première historiographie huguenote: Pierre de La Place et Louis Régnier de La Planche»; A. Tournon, «“Singuliers en leurs fantasies”»; M. Magnien, « Pour une attribution définitive du Memoire à La Boétie»; François Rigolot, «Dialogue et pensée politique à la Renaissance: Bruni, Erasme, Montaigne»; F. Charpentier, «Tragédie et monarchie»; C.-G. Dubois, «David, poète et prince. Sa représentation dans la dramaturgie française de la seconde moitié du XVIe s.»; François Lecercle, «Ne’er seen but wonder’d at. La mise en scène politique dans Henry IV de Shakespeare»
II - Poésie et politique à la Renaissance
N. Dauvois, «Morale, politique et eschatologie dans Les Regnars traversans les perilleuses voyes des folles fiances du monde de Jean Bouchet. Limites et modalités du discours critique»; J. Dupèbe, « Un ami de Clément Marot, le médecin Michel Amy»; G. Defaux, «“Moy ton Poëte, ayant premier osé…”: Du Bellay, Ronsard et l’Envie»; J. Vignes, « Le Poète et la guerre (autour de la prise de Calais, 1558)»; E. Karagiannis, «Images d’Achille dans la poésie de la Pléiade»; A.-P. Pouey-Mounou, «Ronsard et le roi de gloire»; Ph. Ford, «Hercule et le thème solaire à Fontainebleau: la Porte dorée et Le Satyre de Ronsard»; F. Cornilliat, «“Je suis Ronsard…”: paradoxes de l’inconstance dans le Recueil
des nouvelles poésies»; F. Rouget, «Sur des vers retrouvés de Ronsard: J. D. Cécier, dit Colony, et les Preceptes de P. de Ronsard à un Prince»
F. Dobby-Poirson, «Autour des Hymnes: la postérité de Ronsard dans l’Hymne de la monarchie de Robert Garnier»; Y. Bellenger, « Les sonnets satiriques de J. Grevin»; F. Lestringant, «Une Satyre Ménippée au service de la Contre-Réforme: La Cabale
des Reformez attribuée à Guillaume Reboul»; P. Debailly, «Satire et peur du féminin».
III - Poésie et théologie à la Renaissance
J.-C. Margolin, «Victoire chrétienne sur la mort. A propos d’un poème de Ch. de Bovelles (De immortalitate animae, Paris, 1550; N. Cazauran, «Marguerite de Navarre: le deuil en dialogues»; M. Huchon, «François Ier en enfer»; O. Millet, «Poésie et musique: l’œuvre de Louis Des Masures et ses “cantiques”»; J. Céard, «Christianisme et paganisme: les Hymnes ecclesiastiques de Guy Le Fevre de La Boderie»; F. Giacone, «Bible et esthétique: les Hymnes ecclesiastiques de Guy Le Fevre de La Boderie»; G. Schrenck, «“La voici l’heureuse journée”: variation sur le Ps. CXVIII dans l’œuvre d’A. d’Aubigné»; A. Gendre, «Quête de Dieu et séduction du monde dans les Sonnets spirituels de Gabrielle de Coignard»; H. Cazes, «Des voyages à cheval et de l’immortalité: le testament français d’Henri Estienne, 1594»; N. Ordine, «I Furori di Giordano Bruno».
IV - Spiritualité et théologie à la Renaissance
M. Venard, «Réciter sa patenostre ou comment traduire en français l’Oraison dominicale»; A. Godin, «L’Exomologesis d’Erasme, exercice d’humanisme pastoral»; M.-Ch. Gomez-Géraud, «Sur un souvenir de l’Ecclésiaste: un visage de Thomas More en ses derniers écrits»; G. Demerson, «Apollonios de Tyane chez Rabelais: Christ dans un miroir déformant?»; Gérard Milhe-Poutingon, «La décontextualisation: un stylème rabelaisien pour “emplir l’ame de toute verité”»; B. Boudou , «Henri Estienne et la traduction par S. Castellion de la Bible en français»; M. Engammare , «David côté jardin. Bethsabée modèle et anti-modèle littéraire à la Renaissance»; M.-M. Fragonard, « La prédication, le théâtre, Hérode et la folie du monde»; F. Greiner, «Martyrs d’amour du roman baroque: images et enjeux»; I. Pantin, «Fidelissima immortalis Dei nuncia: astronomie et théologie de Regiomontanus à Tycho Brahe»; J. Miernowski, «Le mouvement virtuel des anges»; P. Chiron, «Mouvement et repos dans la cité de Dieu»
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Yvonne BELLENGER,
Hervé-Thomas CAMPANGNE,
Rémy CAMPOS,
J.-Cl. CARRON,
S. DAVIDSON,
Gérard DEFAUX,
Max ENGAMMARE,
Philip FORD,
C. JOMPHE,
Marie-Dominique LEGRAND,
D. MARTIN,
Ann MOSS,
John NASH,
François RIGOLOT,
François ROUGET,
Cynthia SKENAZI,
Colette H. WINN,
R. WOOLDRIDGE,
C. YANDELL
Sommaire: G. Defaux, «De Marie à Délie: Le cèdre, le venin, la licorne et la Colonne du Dieu vivant»; J. C. Nash, «Per angusta ad augusta: Ronsard and the Renaissance Belief in Poetry as Therapy»; C. Yandell, «“L’amour au féminin”? Ronsard and Pontus de Tyard Speaking as Women»; F. Rigolot, «Ronsard et la théorie méliorative de l’imitation»; Ph. Ford, « “What Song the Sirens Sang...”: The Representation of Odysseus in Ronsard’s Poetry»; A. Moss, «Ronsard the Poet: Ronsard the Hermaphrodite»; R. Wooldridge, «Ronsard chez les lexicographes de la Renaissance»; M. Engammare, «Ronsard et Tyard versus Viret et Calvin à propos du temps»; Y. bellenger, «Le discours “Des vertus intellectuelles et moralles” prononcé par Ronsard à l’Académie du Palais»; C. Skenazi, «L’ordre et la paix: une perspective de la dispositio ronsardienne»; H. Campangne, «Les histoires tragiques de Pierre de Ronsard»; S. Davidson, «Houel émule de Ronsard ?»; M.-D. Legrand, «Ronsard sous la plume de Du Bellay ou la mise en scène d’un programme poétique: à chacun son rôle et à chacun sa place»; J.-C. Carron, «Le dialogue amoureux et la poétique des discours philosophiques à la Renaissance: L’exemple de Pontus de Tyard»; D. Martin, «Ronsard dans l’œuvre de Guillaume Des Autelz»; C. H. Winn, «Gabrielle de Coignard, “Sur la mort de Ronsard” (1594)»; C. Jomphe, «Théorie et pratique de l’épitaphe dans la poésie héroïque de Ronsard»; R. Campo, «Words on Passing/Passing on the Word: Ronsard’s Epitaphes and the Glimpses of a Graveside Poetic»; F. Rouget, «Ronsard et la poétique du monument dans les Œuvres de 1578».
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Jean Marot revient de loin, de plus loin encore que son fils Clément. Non seulement parce qu’il a comme lui souffert de nos préjugés tenaces à l’encontre de la “grande rhétorique” et de cette période de l’histoire de notre poésie antérieure à 1550; mais aussi parce que son fils Clément, ce fils qui de son vivant avait tout fait pour le couvrir de gloire, a finalement après sa mort rejeté celui-ci dans une ombre si épaisse que nous avons failli l’y perdre à tout jamais de vue.
Etablie pour sa première partie, d’après le recueil publié à Paris fin 1533 - début 1534 par Clément Marot, pour le reste d’après des sources manuscrites disséminées dans de nombreuses bibliothèques européennes, la présente édition a donc valeur d’indice. Elle témoigne d’abord d’une volonté correctrice qui, en cette fin de siècle, anime critiques et historiens contre le mythe progressiste mis en place par Du Bellay dans sa Deffence et illustration de 1549. Elle témoigne ensuite de la richesse de notre poésie à ce moment charnière où le “Moyen Age” devient pour nous “Renaissance”. Elle permet enfin de découvrir l’œuvre d’un “illustre poete françoys” et de mieux prendre conscience des liens essentiels qui la rattachent à celle du fils. Impossible, désormais, “d’escrire Clement” sans qu’aussitôt n’apparaisse, probablement ineffaçable, part même de son être, le nom du père.
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Jean BALSAMO,
Hervé BAUDRY,
Bruno BRAUNROT,
Raymond C. LA CHARITÉ,
Richard COOPER,
Lawrence D. KRITZMAN,
Tristan DAGRON,
Nathalie DAUVOIS,
Marcel DE GRÈVE,
Gérard DEFAUX,
Guy DEMERSON,
Philippe DESAN,
Diane DESROSIERS-BONIN,
Edwin M. DUVAL,
Francis GOYET,
Jean GUILLAUME,
Mireille HUCHON,
Michel JEANNERET,
Marion LEATHERS KUNTZ,
Matteo MAJORANO,
G. MALLARY MASTERS,
Pierre MARÉCHAUX,
Jean-Claude MARGOLIN,
Gisèle MATHIEU-CASTELLANI,
Daniel MÉNAGER,
Bruno PINCBARD,
François RIGOLOT,
Bruno ROY,
Paul J. SMITH,
Jean-Charles SOURNIA,
Marcel TETEL
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O. ZEGNA RATA, L’acheminement vers la parole, ou l’éducation de Gargantua; I.R. MORRISON, Rabelais contre Machiavel dans Gargantua; P. GILMAN and A.C. KELLER, Why Rabelais wrote Gargantua after Pantagruel?; E. McPHAIL, Rabelais’s Allegory of Prudence; L.K. DONALDSON-EVANS, The Peregrina-tions of Pantagruel: Rabelais and the Travel Literature of the Renaissance; N. FRELICK, “J’ouis-sens”: Thaumaste dans le Pantagruel de Rabelais et le “sujet-supposé-savoir”; P. GILMAN and A.C. KELLER,Et fut trouvée par Jean Andeau en un pré”; M. BENSIMON, Tel père, tel fils?; M.-J. BOISACQ, Charles Nodier et la réhabilitation de François Rabelais au XIXe siècle; G. DEFAUX, Rabelais contre les Églises: pour une “lecture cosmographique”u Quart livre.
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Pierre AQUILON,
Jesus Martinez de BUJANDA,
Paulette CHONÉ,
M. CYTOWSKA,
Gérard DEFAUX,
J. DELUMEAU,
Marie-Luce DEMONET-LAUNAY,
M. GANDILLAC,
André GODIN,
Léon-E. HALKIN,
J. JACQUIOT,
M.-T. JONES-DAVIES,
Eva KUSHNER,
J. LAFOND,
Frank LESTRINGANT,
G. MARC'HADOUR,
I. MCFARLANE,
Alain MICHEL,
Anna OLIVIERI,
J. OSORIO,
Y. PÉLICIER,
Augustin REDONDO,
Michel REULOS,
R. SAUZET,
J.P. VANDEN BRANDEN,
Cesare VASOLI
Recueil de vingt-cinq études savantes sur Erasme : L.-E. Halkin, J. M. de Bujanda, J.-P. Vanden Branden, A. Godin, G. Marc'hadour ; l'entreprise de la vérité : E. Kushner, I. McFarlane, M. Cytowska, F. Lestringant, M. Reulos, R. Sauzet ; les chemins de la vérité : C. Vasoli, A. Olivieri, Y. Pélicier, A. Michel ; la vérité à l'épreuve du langage : M. de Gandillac, G. Defaux, P. Aquilon, M.-L. Demonet-Launay ; enfin sur vérité, culture, lettres et art : J. Delumeau, J. Lafond, J. Osorio, A. Redondo, M.-T. Jones-Davies, J. Jacquiot et P. Chone.
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François RIGOLOT, Quand le géant se fait homme: Rabelais et la théorie de la condescendance; Gérard DEFAUX, Rabelais's Realism, again; Dominique FROIDEFOND, La Théâtralité dans le Tiers Livre; Jean-Pierre CHAMBON, Andrieu de la Vigne, source de Rabelais?; Pierre SERVET, Barthélemy Aneau lecteur de Rabelais?; Frédéric TINGUELY, D'un prologue l'autre: vers l'inconscience consciente d'Alcofrybas Rabelais; Peter GILMAN and Abraham C. KELLER, Rabelais, the Grandes Chronicques and Jean Lemaire de Belges; Peter GILMAN and Abraham C. KELLER, The "Grosses Mesles"; Camilla J. NILLES, Reading the Ancien prologue; Kurt BALDINGER, Eon, plante énigmatique chez Rabelais, et le Pantagruélion.